0 10 5 min 1 an 2411
De retour à Namur pour ce deuxième jour de festival : on en profite pour se faire un tour du propriétaire. Si nous avons explorer La Casa, La Place des Arts et La Plage, place aujourd’hui au Village et ses associations.

Comme chaque année, elles sont nombreuses à avoir répondu présent et à défendre leurs causes diverses. Là où certaines mettent des paillettes dans la vie (et sur les visages des festivaliers), d’autres, comme l’ASBL Un Pass dans l’Impasse, nous proposent de mettre la main à la pâte. Une fresque collective du bonheur, de la récup de t-shirt, la création de carte postale, etc. Chacune alliant prévention, conscientisation et information.

© Jeremie Piasecki

Une brise de bonne humeur balaie la Place des Arts et RORI monte sur scène. Elle entame « Ma Place » mais s’il y a bien endroit où elle n’a plus besoin de lutter, c’est aux Solidarités. Présente pour la deuxième année consécutive sur le festival, elle est accueillie comme l’enfant prodige ! Bien loin des « Vampires », elle nous confie ne pas avoir un excellent cardio, mais quelle importance quand le coeur du public bat pour elle ?

© Jeremie Piasecki

C’est maintenant une vague de festivaliers qui se dirigent vers La Plage pour rencontrer LEO FIFTY FIVE. Tout en simplicité, l’artiste débarque sur scène pour chanter l’amour. Avec « Bouteille à la mer », il nous parle de changer pour quelqu’un mais ses fans sont unanimes : il n’y a rien à redire, ils le trouvent parfait tel qu’il est.

© Jeremie Piasecki

L’an dernier, elle apparaissait sur l’écran derrière Grand Corps Malade. Cette fois, comme dans leur titre « Pendant 24H », ils traversent tous deux le miroir et échangent leur place. SUZANNE déboule sur scène et plus rien ne l’arrête. Voilà quelques mois qu’on la croise et la recroise sautant d’un festival à un autre, mais la Belgique ne se lasse jamais de la retrouver. Et vraisemblablement, c’est réciproque, l’émotion se lisant sur son visage. Face à une foule qui reprend ses titres à pleins poumons, il ne pourrait en être autrement.

© Jeremie Piasecki

Quand vient le tour de CHILLA, aucune hésitation de la part de sa communauté présente en masse pour l’acclamer. « Am Stram Gram », « Oulala » et bien d’autres titres de son album « Ego » défileront pendant son heure de prestation. On retiendra les frissons qui nous ont parcourus et la larme qu’elle a essuyée quand nous avons tous repris en coeur « Si j’étais un homme », ou LE titre qui a propulsé sa carrière en 2017.

Les concerts s’enchaînent mais ne ressemblent pas, voici qu’arrive 47TER. Du rap à la pop, le tout parsemé de quelques petites touches d’électronique par-ci, par-là, et le tour est joué ! Fort de leur dernier album « Au bon endroit », le trio français nous embarque dans une ambiance folle. Une complicité évidente sur scène et des festivaliers sur-motivés, il ne fallait rien de plus pour faire trembler la Place des Arts.

© Jeremie Piasecki

Retour à La Plage pour accueillir LUJIPEKA et nous plonger au cœur de son univers musical. Le rappeur Rennais ne se contente pas de chanter ses chansons, il les vit sur scène et partagent ses sentiments les plus profonds avec le public. Luji mélange habilement ses textes puissants à des mélodies envoutantes et ne laisse personne indifférent.

© Jeremie Piasecki

C’est maintenant au tour de la paire de frères la plus connue de Toulouse de faire le show. BIGFLO ET OLI sont là pour mettre le feu et n’y vont pas par quatre chemins, dès les premiers morceaux, les fans s’enflamment ! Du son aux jeux de lumière, tout est mis en place pour rendre leur prestation exceptionnelle. Si le public ne fait plus qu’un pour devenir une merveilleuse marée céleste, au moment du départ, tout un chacun repart des étoiles pleins les yeux et des rimes pleins la tête.

Pour nous, cette deuxième journée s’arrête là mais la soirée continue pour ceux qui le souhaitent avec KID FRANCESCOLI que l’on ne vous présente plus !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *