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Ce sont les oreilles encore bourdonnantes et le cœur encore frémissant des concerts de la veille que nous avons franchis l’entrée de Ronquières pour la deuxième et dernière journée de festival.

Pendant que LUMOON & ROBIN, AUREL et ALEX LUCAS s’attelaient successivement  à réveiller les derniers campeurs ensommeillés et à chauffer doucement l’ambiance générale, vos amis bourlingueurs se sont laissés porter par leur flair.

Et oui, le plan incliné prône la diversité, tant de la musique que de la nourriture ! Food Trucks en tous genres ont pu combler les 20 000 festivaliers journaliers proposant des mets du monde entier : Thaï, Grecque, Italien, Mexicain, Breton et j’en passe.
Dispersés de-ci, de-là, des stands associatifs aussi. Grain de vie, Amnesty International, Plan Belgique,  Unicef, etc … 

Videoclub

De quoi se laisser distraire! Heureusement, nous n’avons pas oublié la raison de notre présence et les notes du premier morceau de VIDEOCLUB nous ont rapidement ramené à Tribôrd ! Sur la scène, Adèle Castillon et son groupe sont allés de titres originaux en reprises pour le plus grand bonheur de nos oreilles. Une découverte que nous sommes ravis de ne pas avoir manqué !

47TER

Passant à Babôrd, nous retrouvons 47TER pour sauter dans tous les sens avec leurs nombreux fans.

C’est ensuite L’IMPERATRICE qui monte sur scène pour un moment royal. La réelle complicité entre les membres du groupe semble avoir contaminé le public. Propagation de joie de vivre assurée !

L’Impératrice

Plus tard on retrouve LA FEMME, Un groupe plein d’énergie qui nous prouve que le rock français est loin d’avoir dit son dernier mot!

Nous avons ensuite le plaisir de découvrir DELUXE, un style haut en couleur qui ne peut que capter votre regard et une présence scénique pleine de peps. On sent qu’ils s’amusent autant que le public qui les acclame.

La Femme
Deluxe

Quand il est question de mise en scène, justement, on peut compter sur WOODKID. Plus qu’un simple concert, il nous a offert un magnifique moment sons et lumières. Si les morceaux s’enchaînent, les fans, quant à eux, se déchainent.

Pour clôturer cette journée, on retrouve BON ENTENDEUR. Un trio aux compositions tantôt électron, tantôt plus douces.

Les organisateurs ont su prouver que la musique et la culture peuvent se relever de la crise qui vient de passer. Et c’est déjà beaucoup. Mais le plus grand défi que le Ronquières Festival est hautement parvenu à réaliser, c’est d’offrir à 40 000 personnes un week-end de liberté, comme un retour au sources qui fait le plus grand bien.

Texte : Aline Vander Osieren et Lionel Broché.
Photos : Jeremie Piasecki.

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