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De retour à Baudour, on attaque tout de suite avec THE FOO’S (Foo Fighters). S’il pleut sur le parc, c’est sur scène que l’orage gronde ! Les premiers festivaliers s’électrisent et se laissent porter par l’énergie du groupe.

© Jérémie Piasecki
© Jérémie Piasecki

Vient ensuite FLINK 82 (Blink 182), entre leur humour et leurs quelques tentatives de breakdance, chacun des membres semble monter sur ressort ! Ils s’éclatent et le public avec eux, si la foule s’amasse, c’est à une horde de grands adolescents qu’elle s’apparente quand elle reprend en coeur « All The Small Things ».

© Jérémie Piasecki

RENEGADE (Rage Against The Machine) prend le relais et la température monte. Bientôt, des pogos se lancent et les corps se déchaînent. Le chanteur nous explique alors leur choix de nom, représentant la chute. Celle d’un ancien monde sclérosé et édification d’un nouveau ensemble et par le biais de la musique (et peut-être d’un peu de slam aussi).

© Jérémie Piasecki
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Quand DIG DOWN (Muse) monte sur scène, les fans reprennent en coeur les plus grands titres de leur registre. Nous, on en profite pour nous arrêter et aller profiter des food trucks présents. Crêpes bretonnes, gyros, pâtes ou frites, il y en a pour tout les goûts !

© Jérémie Piasecki

À peine terminé, on enchaîne avec TODO ESTA AQUI (Noir Désir). Premier cover de rock français depuis le début du festival, le groupe fait l’unanimité. S’ils interprètent « Un homme pressé », ils prennent pourtant le temps de communiquer avec le public et celui-ci leur rend au centuple.

© Jérémie Piasecki
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La foule devient compacte quand METEORA (Linkin Park) s’installe et dès que résonnent les premiers accords, elle se déchaîne. Jumps, pogos, slam et même un wall of death. Sans oublier l’ovation faite en hommage à Chester et les très nombreuses interactions avec leurs fans. Fans qui se sont d’ailleurs rués vers le stand merchandising pour des dédicaces.

© Jérémie Piasecki

Avant dernier concert du jour, SUNK (Green Day) vient démontrer que le mouvement Punk n’est vraiment pas mort. Il suffit de voir le mélange générationnel qui reprenait en choeur les morceaux et se laissait contaminer par le dynamisme des musiciens. Impossible de faire, du jeu de scène jusqu’à la pointe de leurs cravates, chacun des membres se donnait à fond pour nous offrir un show délirant !

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La nuit est tombée sur Baudour mais il faut plus que quelques nuages pour empêcher ORION de rayonner ! Des riffs et des solos intenses, la soirée se termine en apothéose avec cet hommage à Metallica et leurs 40 ans de prestige. Une chose est sûre, le groupe a su leur faire honneur !

© Jérémie Piasecki

Les tympans vibrants et le coeur rempli des titres qui ont bercé notre adolescence, chacun reprend la route avec l’impatience de revenir le lendemain.

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